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Peut-on expliquer que quelque chose existe physiquement lorsqu'on l'observe?
Ce que l'on ne regarde pas, existe-t-il?
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![]() de COMBREDET Jean | Sympathie et à bientôt . |
![]() de COMBREDET Jean | ![]() En fait la réalité est assez simple ,puisque cette erreur originelle vient des ELOHIM qui ont crée ,pas un seul mais plusieurs humains dans des conditions en avance sur l’horloge cosmique .Ils ont eu bien avant de nombreux ratés ..catastrophiques engendrant beaucoup de souffrances inutiles et insoutenables…Puis se rendant compte de l’inhumanité de leurs attitudes,( comme si nous le réalisions avec nos rats de labo !) ils se sont progressivement amendés.. ;et ont même coupé le contact avec tous les dirigeants et rassemblement d’humains de la planète..à cause de leur corruption…passant seulement parfois quelques messages individuels… :les récupère qui peut..car cela est aussi le respect de l’intégrité et du libre arbitre témoignant de l’amour de la véritable Omnipotence et non de celle des dogmes ! Cette planète était devenu un paradis, mais la création d’Adam étant en fait artificielle, il s’ennuyait de ne plus avoir l’INSPIRATION qui lui permettait de rendre grâce en permanence au créateur. Et cet état là existe : de nombreux ermites qui vivent de la lumière du soleil encore aujourd’hui peuvent en témoigner ..et en témoignent , publiquement en silence ! Là-dessus sont venus se greffer des phénomènes de luttes supra humains qui ont engendré l’éclatement de la planète CERES (ceinture d’astéroïdes) Dans le même temps sont intervenues des querelles entre ..disons les supra hommes …qui décidèrent de couper Adam en deux : homme & femme (ce qu’énonce la phrase que vous citez !)…on sort le féminin du masculin ! Ce qui après avoir crée l’Adam artificiel est une DEUXIEME ERREUR. ..qui plus est quand on la masque ! Ainsi l’homme & la femme sont indissociablement liés mais l’ignorent ![]() Mais pour garder l’aura divine auprès de ces êtres non encore assez évolués pour devenir des supra-hommes, la « CREATION » leur est présentée sous un jour enfantin. D’autres la récupéreront et la déformeront à des fins bassement humaines. Et c’est seulement alors que EVE est mise en contact avec un être ![]() Quand on connaît la puissance de ces forces – toujours existantes & que je côtoie encore à distance (contre mon gré …& qui se sont concrètement présentées comme vous et moi en quelques occasions...pronostiquant et prouvant !) avec d’autres – on comprend qu’elle n’ait pas pu totalement s’en douter …ce qui diminue en partie sa désobéissance …mais non la puissance de la contamination de l’humanité homme & femme ! Elle est même bien pire que ce que les plus « accros « aux religions & à l’ésotérisme, imaginent, bien plus profonde & omniprésente au quotidien de chaque instant ! Mais l’orgueil humain ne peut l’admettre …ou alors s’y voue.Mais là encore sans bien réaliser …jusqu’où cela va ! Le traumatisme est si fort que la subconscience humaine gomme le principal & se raccroche aux premiers ersatz qu’on lui jette ..sans vraiment vérifier.. ;et prenant raisonnement pour vérification ! La REALITE est donc toute autre de ce que disent les écrits officiels…mais a maintenant bien transpiré. Les religions ne sont que des dogmes, donc des raccourcis déformants & déformés pour de sombres intérêts. A chacun de voir, de découvrir et de comprendre par son chemin ! Alors CIRDEC, si vous le voulez bien, je ne vais pas entrer avec vous, ni avec personne sur le site en débat pour confirmer ou infirmer ce que je vous énonce : les temps ne sont plus à discutailler, qui plus est pour permettre au monde officiel de légitimer l’illégitime, mais à chacun à partir de ces généralités de reconstituer le puzzle ! Si vous n’êtes pas d’accord CIRDEC ou si d’autres personnes ne sont pas d’accord ,cela n’a AUCUNE importance …vraiment AUCUNE ! Cette réalité a suffisamment suintée pour qu’en cette fin des temps on se permette de la signaler …discrètement mais ouvertement. Et les temps qui viennent confirmeront, toujours plus ! Depuis des dizaines d’années des tas d’ouvrages ont repris la réalité de ces faits soit en les brodant, soit en s’approchant de la réalité … ;soit en intoxiquant volontairement les masses. Les citer ne ferait qu’ouvrir la porte à des polémiques inutiles : l’establishment ne demande que cela :il y participe même …en créant des sites ! ![]() On ne convainc pas de choses pareilles par un simple discours ! On ouvre la piste …et seulement parce que nous sommes dans l’époque actuelle ! « Le véritable secret ne peut être révélé . Celui qui le connaît a su comment le pénétrer ,mais quiconque n’ a pu le découvrir lui-même & le reçoit oralement d’un autre sera incapable de le comprendre «
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![]() de COMBREDET Jean | Même les adorateurs du veau d’or s’accrochent à l’imagerie scripturale de papiers tels des forcenés, sans voir qu’une toute petite minorité les détourne des matières premières pour mieux les capter et s’en partager les profits. ; ne laissant que du chiffon à la masse dont ils font partie sans même le réaliser. C’est l’éternelle lutte des glyphoths contre les sephiroths, mais déviée de façon perverse. Je ne sais si la conscience peut naître d’un CHAMP car elle : EST hors espace-temps dans le Tout de l’espace –temps ! Mais je vous remercie d’avoir souligné le lien meta-physique avec les archives akashiques (K : spirale de l’intelligence dans le temps, en passant par le feu du Sh, pour donner « q » la réussite martiale de la vie.où les voyelles « ue » expriment la respiration du souffle divin sous une forme liée à notion eucharistique du dogme dit » chrétien « donc symbolique) Vous dénommez CHAMPS, ces archives et établissez fort opportunément le lien avec le point zéro. D’autre part je ne suis pas étonné que le 5 He corresponde au neutrino de la physique, car il en a la neutralité & adaptabilité & peut donc contenir les informations magnétiques ultimes. Il entre donc totalement dans ma logique de perception que l’arrivée dans notre espace-temps ne puisse se faire que par la piezo-électricité au travers de la matrice fécondée YESOD. C’est en effet la matrice réceptrice qui possède donc un haut potentiel électrique pour donner la forme informante & les mâles un bas potentiel émissif d’énergie,se réservant pour pouvoir entrer en résonance avec la transcendance subtile. Le courant électrique passe ainsi d’un potentiel élevé vers un potentiel bas .C’est ainsi la femme terrestre qui capte l’énergie Universelle & attire le mâle pour lui repasser son haut potentiel . Ainsi le mâle issu de la matrice est capté par elle et il lui appartient de la pénétrer et de la dépasser pour permettre au couple de communier dans la transcendance .L’enfant dans la cour de récréation, avant l’âge de 7 ans a d’ailleurs une partie de ce bon sens…mais l’exprime de façon peu affable..déjà ! CECI est en fait un idéal extra-terrestre car dévié et perverti sur cette planète : mais le principe demeure. Les mâles sont donc les émissifs ou cathode et les femelles les récepteurs ou anodes où le pôle Nord (divergence des flux magnétiques) est mâle & le pôle Sud (convergence des flux magnétiques) est femelle. La science terrestre à ajouter ensuit les signes + & - dans une certaine confusion. Contrairement à la donnée électrique le corps terrestre mâle est donc une électrode négative ou cathode et le corps femelle une électrode positive ou anode. La fonction de la femme est donc une INSPIRATION (au sens recevoir la racine de la terre) & celle de l’homme une TRANSPIRATION. (au sens émettre la communication transcendante) La MATRICE pour créer la forme informante a en effet besoin d’un HAUT potentiel, tandis que le mâle a au contraire besoin d’un BAS potentiel pour entrer en contact avec la résonance subtile . Mais éternel paradoxe de la complémentarité corps-esprit, ce sera la femme qui aura un corps gracile de réceptrice plus liée à la staticité & l’accueil & l’homme qui sera corpulent ,en émissif plus lié à la dynamique. C’est aussi pourquoi la réception –principalement féminine – de la voyance doit être très réservée et prudente, car le HAUT potentiel féminin l’expose trop à des fréquences trop proches de la densité. Là encore la complémentarité équilibrée des sexes serait nécessaire & seule la VIERGE MARIE l’avait compris,ne tentant pas d'abuser de sa puissance féminine,sur une planète esclave de la densité. Telle est l’IDEALE complémentarité des sexes & son fonctionnement sur les planètes normales, alors qu’ici bas ne reste plus que le squelette à cause des névroses de dogmes. Ainsi dans les corps galactiques la reproduction s’en tient à la polarité des corps, plus proche de la sensualité que de la sexualité. C’est pourquoi l’ADAM séparé en DEUX CÔTES (et non le délire de la femme faite à partir de la côte de l’homme qui ne veut strictement RIEN dire !) ne le réalise pas plus que la femme & que le corrupteur a attaqué la matrice pour contaminer l’homme…D’où la guerre millénaire des sexes, pierre d’achoppement de la complémentarité des sexes et du bien fondé de l’enfantement ici-bas ! Nous voyons ainsi à quel point les revendications vitupérantes machistes aussi bien que féministes ici-bas sont d’un ridicule consommé ,quand il ne s’agit que d’ETRE & vivre son sexe ,plutôt que d’en avoir peur…tout d’abord en sortant de la névrose des dogmes ou idées reçues ..et farfelues ..mais très perverses et destructrices. L’indulgence ici bas est donc plus qu’opportunément de rigueur vis-à-vis du sexe opposé, car le bipède humain IGNORE tout simplement les fondamentaux de la plus grande force qui le fait vivre, survivre…et transcender,base du pêché d’orgueil du PRINCE de ce MONDE & de son intoxication de l’humain. Nous sommes donc vraiment très loin du : »si tu es un homme, tu baises » et du « suivez moi jeune –homme « en lesquels baignent nos adolescents- & adultes dépassés - qui ne sont que les questions subsidiaires de la principale réalité ! Ce qui explique l’aspect régressif de nos sociétés, même tribales et apparemment –mais seulement apparemment - proches de la nature.
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![]() de Villers Grand-Champs Cédric | " Le champ unitaire ultime de la physique, le 4 (Daleth) de la Kabbale, la lumière "Que la lumière soit et la lumière fut !!" est à l'origine de tout. Seule notre pensée a accès à ce champ pour lui donner une forme le 5 Hé correspondant au neutrino de la physique. Il contient de l'information source de tout ce qui est, nous pourrions aussi dire la conscience qui est une sans cloisons étanches, l'ensemble de ces info constituent le champ magnétique, mais à ce niveau il n'est pas dans notre espace temps. Le soleil correspond à cet ensemble, c'est pour cela qu'il ne peut être chaud, il correspond au champ H2 de PINEL. " La Qabbalah nous enseigne que le Daleth 4 constitue une résistance, celle du portillon dans sa graphie et sa morphologie. Il n'est donc pas surprenant qu'il représente le champ unitaire ultime de la physique, le dH3/dT. Paradoxalement, on pousserait la dernière, l'ultime porte, pour entrer dans la mort(le vivant) Ce Daleth 4 permet au Hé 5 d'entrer en existence et représente le vivant. Dans sa graphie et sa morphologie, ce Hé 5 est constitué d'un Daleth et d'un Yod 10, la main, le Aleph manifesté, Aleph, l'alternance vie-mort. Merci à vous Jacqueline, pour ce magnifique document : "La grande mutation". http://www.arsitra.org/yacs/files/fetch.php/ 186/la-grande-mutation.pdf Bien amicalement Cédric Pour l'homme, c'est le temps qui passe. Pour le temps, c'est l'homme qui passe. Proverbe chinois Pour l'homme, c'est le temps qui passe. Pour le temps, c'est l'homme qui passe. Proverbe chinois |
![]() de COMBREDET Jean | - Les choses n’ont pas d’existence en elles-mêmes mais par rapport à d’autres événements. - Puisque tout est interdépendant (…) rien n’existe par soi-même - Le temps ne passe pas, il est là Dans tous nos propos : RIEN au sens non pas » chose » mais au sens actuel : néant, n’est absolu. Mais RIEN ( voir aussi article sur le site ) est un sens dévié de CHOSE car le VIDE n’existe pas :seule la VACANCE( son étymologie ) Existe ,soit un espace-temps où l’espace est déjà "chose "& en lequel le Temps n’est que donnée de conscience,puisque le temps ne peut exister sans espace...donc « non vide » .La notion de VACUITE bouddhique n’est donc que disponibilité d’Ecoute…du mouvement perpétuel dans lequel nous sommes entraînés DES LORS que nous entrons dans la manifestation. Qu’est ce que cela veut dire ? « les choses n’ont pas d’existence en elles-mêmes mais par rapports à d’autres événements » Evénement vient étymologiquement de « arriver » qui vient de « accéder » qui vient de « approcher » qui vient de « proche » ou notion de voisinage d’une entité manifestée … corpusculaire ou humaine (un humanoïde étant de la vibration de corpuscules d'ondes) ! Qu’est ce à dire ? Que nous rejoignons par là même la notion de champs morphogénétiques & de Relativité de Lorentz & Poincaré –plus que d’Einstein- partant des champs gluoniques et des ondes planes de l’univers qui se courbent sur elles-mêmes pour donner l’électron, base de toutes les particules subatomiques. Qu’est-ce encore à dire ? « Tout est interdépendant, rien (au sens actuel du mot) n’existe par soi-même « Si rien n’existe par soi-même …c’est d’ailleurs bien que RIEN est CHOSE ! Mais qui anime la moindre manifestation et sa dualité, si ce n’est la CONSCIENCE UNIVERSELLE qui hors espace-temps englobe les 3 temps en elle & perçoit donc TOUT., l’englobant Par conséquent, une fois que l’énergie cinétique de la manifestation est déclenchée, l’onde de conscience –baptisée onde psy dans les champs morphiques – prend vitesse et forme donc lumière. Mais en prenant vitesse, donc différenciation accentuée qui existe déjà dans l’onde, elle se QUALIFIE au plan vibrationnel : - si nous sommes dans un monde extranéen où les humanoïdes n’ont pas d’organes internes, elle se différenciera dans un corps éthérique humanoïde …ou angélique …ou autre - si nous sommes sur nos planètes lourdes de densité & prisonnières de systèmes macroscopiques exigeant des systèmes binaires, dénaires ou sexagésimales, elles se différenciera au travers de murs et de corps de bipèdes et quadrupèdes qui ne pourront pas traverser ces murs ou rochers. Tous ces ensembles sont reliés à la notion de vitesse manifestée, puis de lumière. CELA VEUT DIRE qu’ici bas –même à 330 000 km/seconde- la vitesse est si basse que le bipède va heurter le mur que l’extranéen traversera ou avec lequel il jouera de façon plasmatique,suivant la vitesse de conscience qu’il met en jeu ..ou face à laquelle il est dans l’univers. CELA VEUT DIRE : que nous sommes une vibration macroscopique plus souple mais comme le granit & que notre cerveau ne peut que voir le mur d’en face ou le semblable qu’il croise & se heurter à lui . Mais cela veut aussi dire que lorsque le bipède humain, animé d’une conscience, PENSE à une onde de l’univers il l’appelle en quelque sorte, voire la crée CAR il entre en SYMBIOSE avec un monde microscopique dont il est en partie exclu, de par sa manifestation même, qui plus est en la VIBRATION de ce système solaire avec lequel il est apparié…ce qui n’est pas le cas de l’extranéen qui nous visite, pour ce dernier point. IL s’ENSUIT que nous ne créons pas l’image de notre voisin ou du mur qui ne sont aussi qu’hologrammes de basse densité ..très dense MAIS qu’à un autre niveau microscopique nous APPELONS par notre PENSEE l’onde de la forme informante que notre conscient ou subconscient recherche consciemment ou inconsciemment & appelons ou créons le corpuscule qui y est lié . Il en est à son niveau de même pour l’extranéen ! Mais comme il VIBRE à un niveau plus plasmatique & sur d’autres vitesses & fréquences tellement plus rapides que les NÔTRES & qu’il est moins alourdi par la densité …il semble pour nous qu’il fait des miracles en apparaissant, disparaissant ou créant par la pensée une forme informante. Tout est affaire de vitesse, fréquence (donc sinusoïde-spirale) & ensuite seulement lumière, mais en commençant par celles dont nous sommes constitués ou notre carcan, structure ou squelette donc charpente …humanoïde ou humaine. Si l’humanoïde voit les ondes de l’univers, il ne les voit pas comme nous et avec les mêmes instruments que nous. Ce que l’on NE REGARDE PAS EXISTE en fonction de l’EGREGORE de densité et de vitesse en lequel nous sommes .Mais le paramètre que l’on oublie est celui de conscience volontaire ou involontaire. Ainsi quand j’étais jeune et marchais dans la rue on m’avait appris à observer les gens sans les dévisager pour faire mon éducation. Mais avec l’âge j’ai compris que je n’avais SURTOUT plus besoin de regarder les gens dans la rue .. ;Et maintenant je ne les vois plus & passe au milieu des foules compactes sans même voir les gens ..à moins qu’ils soient agglomérés-statiques et que je veuille progresser au milieu…et être poli « excusez moi.. ; merci ! » Je n’ai pas toujours besoin de jeter un seul coup d’œil à une personne croisée pour savoir qui elle est…même si je ne peux pas toujours l’exprimer avec des mots .Et sur les trottoirs citadins je file au travers des gens sans avoir à les positionner…puisque c’est leur vibration qui parle à celle de mon cerveau –corps et les positionne, me permettant de les éviter ! Je ne regarde pas ces gens mais ils existent comme obstacle à ma progression ,car je suis sur une planète de macrodensité .Ils existent donc aussi pour l’extranéen en visite .Mais d’une autre façon que moi ,il pourra faire abstraction d’eux car entre en jeu la vibration d’origine de sa manifestation... dans celle de cette planète .Ainsi il pourra peut –être passer à travers eux ou se rendre invisible en branchant certaines de ses fréquences. Il y a ce qui dépend de lui et ce qui dépend des deux univers qu’il met en circuit. Sur sa planète l’extranéen croise aussi des gens qui existent à ses yeux ,car jusqu’à un certain point l’EGREGORE VIBRATOIRE de sa dimension l’exige …mais il verra peut être l’intérieur des gens qu’il croise ?! Et il pourra dire à un ami : au niveau de la rate des humains tu as un point vibratoire négatif …et lui envoyer une onde positive ! Mais le point noir qu’il verra chez cet ami sera le produit de la psychosomatique de cet ami qui aura accepté de lui donner corps ou se sera fait phagocyter +/- à son insu ! CE QUE LON NE REGARDE PAS PEUT donc BIEN EXISTER & Ce que l’on regarde PREND de la DENSITE quand on le regarde avec ou sans intention : c’est ainsi que les ondes de l’univers existent & prennent de la densité corpusculaire quand on les regarde ou y pense ! Ainsi vous pouvez faire l’expérience de regarder une photo avec intensité & vous arriverez à la foncer ou l’éclaircir .. ;si vous êtes suffisamment motivé ..en branchant TOUT votre corps-esprit dessus ! Et elle RESTERA ainsi définitivement ! Cela n’a absolument rien d’un miracle, pas plus que de faire se courber une petite cuillère ! C’est de la puissance électromagnétique de pensée consciente et confiante au travers des cristaux de magnétite du corps ! Certes tout le monde n’a pas cette capacité .. ;mais plus encore sont nombreux ceux qui ignorent qu’ils l’ont et... ne sont surtout pas assez motivés pour l’avoir ! C’est ainsi qu’il faut comprendre la pensée créatrice et positive et non comme on l’entend couramment. Il faut d’abord être en état de réceptivité, d’écoute et de respect…. voire de compassion constructive et active ! Maintenant si l’on s’est voué aux forces noires, cela est aussi possible.. ; mais à la différence que se dissocier de cet envoûtement devient quasi impossible & vous entraîne dans un vortex toujours plus destructeur..souvent sous les apparences de l’opulence : c’est le piège infernal du « veau d’or » qui vous donne l’illusion du paradis de la matière sur la Terre ! Il est assez facile de passer du bien au mal car la densité électromagnétique de l’apparence attire, mais l’inverse au niveau magique est quasi impossible ! Les oligarques cousus d’or sont plus à plaindre qu’autre chose ..mais cela n’est pas toujours facile à comprendre dans la misère de cette planète ! Ainsi : ce que l’on ne regarde pas PEUT exister ;..suivant le temps, l’espace et le lieu de densité comparé à l’individu de densité & la résonance qu’il émet et d’où il vient. Et ce que l’on regarde PREND de la DENSITE selon les mêmes critères & peut donc éventuellement être crée à partir d’un "apparemment rien" à partir de la vacuité de l’univers . Mais il faut bien se brancher d’abord sur les paramètres de la dimension en laquelle on est . Si elle est trop dense le trop subtil sera voilé & réanimé que par l’intention. C’est pourquoi des mondes parallèles peuvent exister : il s’agit donc de paramètres très puissants et subtiles..mais non mathématiques…seulement mathématisables, accessoirement !
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![]() | Le problème de la mesure en physique quantique - (88 clicks) L'interprétation de la mécanique quantique: d'hier à aujourd'hui 80 ans après sa formulation, la mécanique quantique est encore source d'incompréhension et plus grave encore, de confusions. Compte tenu de la complexité des mathématiques utilisées, de la remise en cause radicale de certains concepts classiques, de la profondeur des problèmes soulevés, des expériences récentes qui suscitent des interrogations nouvelles, il est certain que les débats sur l'interprétation de la mécanique quantique sont loin d'être clos. Nous allons essayer d'éclairer ces débats en faisant état des développements récents dans ce domaine. |
![]() | L'infini dans la paume de la main: du big bang à l'éveil (avec Matthieu Ricard et Trinh Xuan Thuan). - (96 clicks) 4ème de couverture : La science et la spiritualité éclairent chacune à leur façon la vie des hommes : pourquoi ne seraient-elles pas complémentaires ? Mais, nous dit-on, la connaissance scientifique et la connaissance spirituelle seraient trop étrangères l'une à l'autre pour que leur confrontation puisse être autre chose qu'un dialogue de sourds... C'est précisément à faire mentir cet antagonisme que s'attachent ici Matthieu Ricard et Trinh Xuan Thuan. Le champ des interrogations est vaste : Quelle est la nature du monde? de la matière ? du temps ? de la conscience ? Comment mener notre existence ? Comment marier science et éthique ? Au fil de ce dialogue passionné, animé par un sincère désir de compréhension réciproque, se produit alors l'inattendu: les oppositions s'estompent, les convergences se font jour, et l'on se prend à rêver d'un avenir où foi et raison seraient, enfin, durablement réconciliées. Extraits Conclusion du scientifique Au terme de ces entretiens, je dois dire mon admiration accrue pour la manière dont la pensée bouddhique analyse le monde des phénomènes. J'avoue que j'étais pourtant plein d'appréhension au début de notre entreprise. Je connaissais et appréciais surtout l'aspect pratique du bouddhisme qui aide à acquérir la connaissance de soi, à progresser spirituellement, à devenir un être humain meilleur. En d'autres termes, pour moi le bouddhisme était avant tout une voie vers l'Éveil, une voie contemplative au regard principalement tourné vers l'intérieur. Je savais que la science et le bouddhisme utilisent des méthodes d'investigation du réel totalement différentes. En science, ce sont l'intellect et la raison qui tiennent le rôle principal. Divisant, catégorisant, analysant, comparant et mesurant, le scientifique exprime les lois de la nature dans le langage hautement élaboré des mathématiques. L'intuition n'est pas absente en science, mais elle n'est utile que si elle peut être formulée dans une structure mathématique cohérente. Par contre, l'intuition – l'expérience intérieure – joue le premier rôle dans la démarche contemplative. Elle n'essaie pas de fragmenter la réalité, mais tente de l'appréhender dans sa totalité. Le bouddhisme ne fait pas appel aux instruments de mesure et aux observations sophistiquées qui fournissent la base expérimentale de la science. Ses énoncés sont de nature plus qualitative que quantitative. Je n'étais donc pas du tou: sûr qu'une démarche consistant à confronter la science et le bouddhisme puisse avoir un sens. Je redoutais que le bouddhisme n'ait que peu à dire sur la nature du monde phénoménal, car ce n'est pas sa préoccupation principale, alors que c'est fondamentalement celle de la science. Si cela avait été le cas, nous aurions couru le risque de tenir deux discours parallèles, sans jamais nous rencontrer sur un terrain commun. À mesure que nos conversations se sont poursuivies. je me suis rendu compte que mes craintes n'étaient pas fondées : non seulement le bouddhisme a réfléchi sur la nature du monde, mais il l'a fait de façon profonde et originale. Il l'a fait non pas pour la connaissance du monde phénoménal en soi, ce qui est le propos de la démarche scientifique, mais parce qu'en comprenant la vraie nature du monde physique – la vacuité, l'interdépendance – il peut dissiper les brumes de l'ignorance et ouvrir le chemin vers l'Éveil. Notre discussion a été mutuellement enrichissante. Elle a suscité de nouvelles interrogations, des points de vue inédits, des synthèses inattendues qui demandaient et demandent encore approfondissement et clarification. Ces entretiens s'inscrivent dans la lignée des dialogues précédents entre la science et le bouddhisme. L'enseignement principal que j'en ai retiré est qu'il existe une convergence et une résonance certaines entre les deux visions, bouddhiste et scientifique, du réel. Certains énoncés du bouddhisme à propos du monde des phénomènes évoquent de manière étonnante telles ou telles idées sous-jacentes de la physique moderne, en particulier des deux grandes théories qui en constituent les piliers : la mécanique quantique –physique de l'infiniment petit –, et la relativité – physique de l'infiniment grand. Bien que radicalement différentes, les manières respectives d'envisager le réel dans le bouddhisme et dans la science n'ont pas débouché sur une opposition irréductible, mais, au contraire, sur une harmonieuse complémentarité. Et cela, parce qu'ils représentent l'un comme l'autre une quête de la vérité, dont les critères sont l'authenticité, la rigueur et la logique. Examinons, par exemple, le concept d'« interdépendance des phénomènes », idée fondamentale du bouddhisme. Rien n'existe en soi ni n'est sa propre cause. Une chose ne peut être définie que par rapport à d'autres. L'interdépendance est nécessaire à la manifestation des phénomènes. Sans elle, le monde ne pourrait pas fonctionner. Un phénomène quel qu'il soit ne peut donc survenir que s'il est relié et connecté aux autres. La réalité ne peut pas être localisée et fragmentée, mais doit être considérée comme holistique et globale. Cette globalité du réel, plusieurs expériences en physique nous l'imposent. Dans le monde atomique et subatomique, les expériences de type EPR nous disent que la réalité est « non séparable », que deux grains de lumière qui ont interagi continuent à faire partie d'une seule et même réalité. Quelle que soit la distance qui les sépare, leurs comportements sont instantanément corrélés, sans aucune transmission d'information. Quant au monde macroscopique, sa globalité nous est démontrée par le pendule de Foucault dont le comportement s'accorde non pas à son environnement local, mais à l'univers tout entier. Ce qui se trame sur notre minuscule Terre se décide dans l'immensité cosmique. Le concept d'interdépendance dit que les choses ne peuvent se définir de manière absolue, mais seulement relativement à d'autres. C'est, en substance, la même idée qui définit le principe de la relativité du mouvement en physique, énoncé pour la première fois par Galilée, puis repris et développé au plus haut point par Einstein. « Le mouvement est comme rien », disait Galilée. Il voulait dire par là que le mouvement d'un objet ne peut être défini de façon absolue, mais seulement par rapport au mouvement d'un autre objet. Aucune expérience ou mesure faite par un passager dans un wagon de chemin de fer qui se déplace à une vitesse constante et dont toutes les fenêtres sont fermées ne lui permettra de dire si le wagon est immobile ou en mouvement. C'est seulement en ouvrant une fenêtre et en regardant le paysage défiler que le passager s'en rendra compte. Tant qu'aucune référence n'est faite à l'extérieur, le mouvement est équivalent au non-mouvement. Les choses n'ont pas d'existence en elles-mêmes, mais seulement par rapport à d'autres événements, dit le bouddhisme. Le mouvement n'a de réalité que par rapport au paysage qui passe, dit le principe de la relativité. Le temps et l'espace ont aussi perdu le caractère absolu que leur avait conféré Newton. Einstein nous dit qu'ils ne peuvent se définir que relativement au mouvement de l'observateur et à l'intensité du champ de gravité dans lequel il se trouve. Aux abords d'un « trou noir », singularité dans l'espace où la gravité est si intense que même la lumière ne peut plus en sortir, une seconde peut prendre des airs d'éternité. Comme le bouddhisme, la relativité dit que le passage du temps, avec un passé déjà révolu et un futur encore à venir, n'est qu'illusion, car mon futur peut être le passé d'un autre et le présent d'un troisième : tout dépend de nos mouvements relatifs. Le temps ne passe pas, il est simplement là. Découlant directement de la notion d'interdépendance il y a celle de la vacuité qui ne signifie pas le néant, mais l'absence d'existence propre. Puisque tout est interdépendant, rien ne peut se définir et exister par soi-même, La notion de propriétés intrinsèques existant en elles-mêmes et par elles-mêmes n'est plus de mise. De nouveau la physique quantique nous tient un langage étonnamment similaire. D'après Bohr et Heisenberg, nous ne pouvons plus parler d'atomes ou d'électrons en termes d'entités réelles possédant des propriétés bien définies, comme la vitesse ou la position. Nous devons les considérer comme formant un monde non plus de choses et de faits, mais de potentialités. La nature même de la matière et de la lumière devient un jeu de relations interdépendantes : elle n'est plus intrinsèque, mais peut changer par l'interaction entre l'observateur et l'objet observé. Cette nature n'est plus unique, mais duelle et complémentaire. Le phénomène que nous appelons « particule » prend la forme d'ondes quand on ne l'observe pas. Dès qu'il y a mesure ou observation, il reprend son habit de particule. Parler d'une réalité intrinsèque pour une particule, d'une réalité existant sans qu'on l'observe, n'a pas de sens car on ne peut jamais l'appréhender. Rejoignant le concept bouddhique de samskara, qui veut dire « événement », la mécanique quantique relativise radicalement la notion d'objet en la subordonnant à celle de mesure, c'est-à-dire à celle d'un événement. De plus, le flou quantique impose une limite fondamentale à la précision de la mesure de cette réalité. Il existera toujours une certaine incertitude soit dans la position, soit dans la vitesse d'une particule. La matière a perdu sa substance. |